Lumière froide ou lumière chaude
C'est une question qui divise en deux : ceux qui préfèrent les lumières dites chaudes, aux teintes réconfortantes et orangées et ceux qui préfèrent la rigueur d'un éclairage blanc voire bleuté.
Au-delà des questions de goûts, se posent celles de l'usage. En effet, les lumières chaudes se prêtent plus particulièrement à la détente et à la déconcentration. Souvent associées aux tons d'un coucher de soleil, ou d'un feu de cheminée, on les trouve de plus en plus dans les salons et salles à manger.
Niveau mobilier, si les teintes chaudes peuvent s'accommoder de tout, elles s'accordent particulièrement à des intérieurs chargés, à la décoration éclectique aux accents résolument mix-and-match (retrouver notre article sur le sujet en suivant ce lien).
De l'autre côté du secteur, la lumière dite froide. L'intensité de son rayonnement, exprimée en kelvin, est comparable aux rayons du soleil en pleine journée. Elle stimule ainsi le cerveau et favorise l'éveil. Par opposition, on la préfère lorsqu'il s'agit d'une pièce fonctionnelle, nécessitant un éclairage complet, pratique et fonctionnel : garage, bureau, buanderies, atelier, salle de jeu, remises, cave …
Demeure notre problématique de base : comment s'éclairer lorsque l'on télétravaille ?
En mixant les teintes. On le comprend, le choix de son importance. La lumière chaude elle créé une atmosphère "cocooning" peut ne pas suffire à éclairer suffisamment la zone bureau. A l'inverse, une lumière froide peut stimuler notre cerveau et perturber l'endormissement.
L'idée est alors de choisir une lampe de bureau à l'intensité suffisante, dans une pièce réhaussée de chaudes touches lumineuses.
Ce qui introduit une notion nouvelle. Lumière d'accord, mais … directe ou indirecte ?